Soldes sur les chaussons

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les écharpes de portage, les slings

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Venez découvrir les nouveautés !
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Une idée de cadeau original pour Noël

Vos plus belles photos mises sur bois grâce à la technique du laminage.

J'ai découvert il y a quelques semaines l'existence de patchs révolutionnaires, il s'agit d'une technologie unique basée sur des études cliniques : les patchs Lifewave utilisent la fréquence de la lumière et les points d'acupuncture pour activer le corps.
Aucun produit, médicament, substance n'entrent dans le corps.

Lifewave permet d'innover dans 5 domaines très importants :
- sport et remise en forme
- douleurs de type inflammatoire
- problèmes de sommeil
- contrôle de poids
- anti-âge.

Lorsque l’on s’intéresse à la physique du corps (la physique quantique) on s’aperçoit que le corps est composé d’organes, qui sont composés de tissus, qui sont composés de cellules, qui sont composés de molécules, qui sont composés d’atomes et ces atomes sont composés de charges positives et négatives.
En fait notre corps est qu’un « gros sac » de charges positives et négatives !!

Et nous savons qu’il existe deux façons de faire réagir le corps, soit en absorbant ou en injectant une substance dans l’organisme, soit en agissant directement sur ces charges positives et négatives.

En fait, ces charges positives et négatives réagissent à différentes fréquences, les patchs Lifewave vont donc envoyer une fréquence spécifique selon l’action que l’on veut faire produire à l’organisme.

D’où provient cette fréquence ?
Nous savons tous que les animaux à sang chaud émettent de la lumière sous forme d’infrarouges. En fait, ces infrarouges sont des fréquences.

Les patchs Lifewave vont agir comme un miroir, ils captent les infrarouges du corps, modifient la fréquence et la renvoient dans le corps.

Pour transmettre cette fréquence, Lifewave va utiliser les points d’acupuncture. En médecine chinoise on sait depuis des millénaires que le corps est composé de points d’acupuncture et de méridiens qui sont en fait de véritables «autoroutes d’information» pour notre corps.
En envoyant une fréquence par ces points d’acupuncture le corps peut réagir quasi instantanément.

Je vous propose une présentation de cette technologie le mardi 10 août à 14h à mon domicile à GUJAN-MESTRAS.

La Petite Boutique Bio loue des écharpes de portage ici et des couches lavables là.

N'hésitez pas à vous renseigner.

La Petite Boutique Bio vous propose des paniers de fruits et/ou légumes bio ici

Les moustiques attaquent fort cette année ? Pas chez vous ?
Alors quelle solution ? Un spray bourré de produits chimiques ? Un bracelet très cher ?
Une amie vend des bracelets anti moustiques 100 % naturels (huiles essentielles), testés en laboratoire de parasitologie agréé.
On peut les garder pour se baigner.
Non recommandés pour les femmes enceintes et enfants de moins de 3 ans.
Prix : 3.50 euros.

Contactez moi pour avoir ses coordonnées : creactionature@gmail.com

Et voilà ! de nouveau, comme tous les mois, nous nous retrouvons dans les rayons des magasins pour refaire les provisions de protections hygiéniques!

Encore une fois, il faut faire face à nos saignements, nos règles.

Ce sang, qui s'écoule de notre corps par le vagin, en provenance de l'utérus, en cas de non fécondation, c'est à dire, hors de début de grossesse, est un phénomène parfaitement naturel et physiologique. Cela fait partie intégrante de la vie d'une femme.

Mais cette manifestation, pour naturelle qu'elle soit nous complique parfois beaucoup la vie !

Pour absorber ce flux de sang, nous n'avons le choix entre les serviettes hygiéniques et les tampons.
Les serviettes ont comme avantage de ne pas être invasives, mais elles peuvent irriter les lèvres du vagin, par frottement.
les tampons, présentent le risque de choc toxique, de sécheresse du vagin, d'irritation de la paroi vaginale, de par leur structure un peu dure. D'autre part, le tampon, par sa nature absorbante et par la ficelle qui dépasse, offre une voie d'accès par capillarité aux liquides extérieurs, urine, eau de la piscine, eau du bain... ce qui augmente le risque d'infection et d'irritation.

Sur le plan écologique, au même titre que les couches pour bébés, les serviettes et tampons ont un écobilan très négatif.  Leur production consomme de l'eau et de l'électricité. De plus, les traitements annexes : blanchiment, stérilisation, etc... sont à base de produits chimiques peu recommandables pour la santé. Et pour compléter le tableau, ces produits sont vendus sous de multiples emballages, plastiques, pour la plupart, qui aggravent l'écobilan.  Donc, de ces tampons et serviettes jetables,nous en consommons environ 5 par jour, pendant 3 jours de règles en moyenne, minimum,  pendant 12 mois par an, ce qui nous donne un total de 180 tampons ou serviettes jetés par an. Il faut y ajouter les serviettes qui doublent les tampons pour la sécurité, la nuit ou dans des circonstances particulières.  Si nous multiplions ce chiffre par environ 3 milliard de femmes sur la planète, pendant les 30 ans en moyenne pendant lesquels les femmes ont des règles,  le chiffre donne le tournis. certains avancent le chiffre de 45 milliards !

Et que deviennent ces produits jetables que nous jetons... à la poubelle? Ils sont incinérés......avec toute la pollution que ces incinérations provoquent. Quand ils ne sont pas incinérés, ces déchets font partie des plus longs à se dégrader. Vous avez envie de laisser trainer vos serviettes hygiéniques pendant 100 à 500 ans, sur la planète ? Un peu désordre non ?
Alors, voilà, nous sommes 2 générations ou presque, à avoir grandi et vécu avec les protections jetables, sans aucune information sur les alternatives possibles. Or, il en existe : Les serviettes jetables biodégradables, les tampons biodégradables, ou mieux, les serviettes lavables les éponges naturelles et les coupes menstruelles.

Source

http://www.aux-femmes.com/

Si beaucoup de personnes utilisent des couches jetables, c’est bien parce qu’elles sont ultra-performantes. Elles sont très fines et pourtant si absorbantes.

Pratiques d’utilisation, le change en couches jetables se fait en quelques gestes simples et rapides. Après la toilette du bébé, on ouvre une couche, on la pose et on jette celle qui est sale. On s’interroge peu sur tout le chemin parcouru par une couche entre notre maison ou le lieu de garde et encore moins sur le retraitement des déchets.

Pour fabriquer une couche jetable, tout d’abord, il faut un film plastique pour l’enveloppe extérieure et les bandes de protection afin d’éviter les fuites. Il est composé de polypropylène ou polyéthylène, fabriqués à partir d’hydrocarbures, principalement le pétrole, soumis à diverses réactions chimiques très polluantes pour l’environnement.
Pour la partie centrale, une couche de cellulose permet de contenir les urines et les matières solides. La cellulose est élaborée par l’action de solutions chimiques qui dissolvent une partie des constituants du bois et éliminent la lignine. De grandes quantités d’eau sont nécessaires à la fabrication de la cellulose. En fonction des pâtes élaborées, des modes de fabrication et des installations industrielles, les eaux rejetées dans les rivières entraînent une pollution plus ou moins importante mais bien réelle.
Aussi, la couche est blanchie au chlore pour permettre effectivement d’avoir un produit bien blanc et donc bien « propre » mais au prix d’une pollution catastrophique. Lors du processus d’incinération, le chlore contribue à la formation de dioxines toxiques pour la santé humaine.
Pour augmenter les capacités d’absorption et diminuer l’épaisseur de la couche, à l’intérieur, un gel chimique, des cristaux de polyacrylate de sodium ou SAP, peut absorber jusqu'à 80 fois son poids en eau. L’impact sanitaire et environnemental de ce produit est important car il n’est pas biodégradable.
Enfin, pour confectionner des couches jetables, les usines de fabrication sont gourmandes en électricité. Le bilan écologique et la pollution de la couche d’ozone, liés au transport, ne sont jamais pris en compte.

Tous ces produits ont un impact environnemental :

• 4,5 arbres sont nécessaires pour fabriquer la pulpe utilisée dans les couches jetables pour 2 ans ½ d’utilisation, et 67 kg de pétrole brut sont utilisés pour leur obtention ;
• la fabrication de couches jetables utilise 3.5 fois plus d'énergie, 8 fois plus de matières premières non renouvelables et 90 fois plus de matières renouvelables que les couches lavables ;
• de la naissance à la propreté, un enfant a besoin en moyenne de 6000 couches jetables, soit envriron une tonne ! Cela correspond à 40 % des déchets ménagers par famille avec un bébé et à 4 % des déchets domestiques en général ;
• dans un site d'enfouissement, le temps de décomposition est de 250 à 500 ans environ pour une couche jetable contre 20 à 60 ans pour une couche en tissu.
• la durée de vie moyenne d’une couche jetable est de 4 heures contre 3 ans minimum pour une couche lavable.

La santé du bébé est également remise en cause :
L’utilisation des couches jetables conventionnelles peut provoquer des érythèmes fessiers car elles contiennent souvent des parfums ou produits allergisants. De plus, en raison du fort pouvoir du gel absorbant, elles n’encouragent pas l’utilisateur à changer souvent le bébé. La couche macère et les bactéries se développent.
D'après l'étude du Dr Carl-Joachim Partsch, médecin en chef, la température des testicules des petits garçons est bien supérieure dans une couche jetable que dans une couche lavable où la culotte de protection est bien respirante, en particulier si elle est en laine par exemple. Il est probable que le port de couche jetable soit mis en cause par rapport à la stérilité masculine et le cancer des testicules.
De nombreux produits toxiques ont été retrouvés dans les couches jetables ces dernières années :

• du polychloroprène (PCP), une sorte de caoutchouc synthétique qui peut provoquer des allergies graves, voire même le choc anaphylactique ;
• du benzol, mélange d'hydrocarbures reconnu cancérigène et pouvant provoquer de l'asthme, ;
• des furanes ou polychlorodibenzo-furanes (PCDF), une famille de molécules chimiques, très toxiques pour l'homme et l'environnement et de la dioxine, sont impliquées dans des dérèglements hormonaux, des déficiences immunitaires, des troubles de la fertilité et des troubles du développement neurologique ;
• du tributyle étain (TBT), biocide utilisé comme pesticide, il perturbe le système immunitaire et hormonal. Rien que ça !

Enfin, si l’achat des couches jetables se réalise au fur et à mesure des besoins, il représente un budget conséquent, qui n’est pas toujours pris en compte dans le temps :

• compter environ 850 € pour des couches jetables discounts et 2000 € pour des couches de grandes marques pour un bébé pendant 2 ans ½ d’utilisation.

Source
http://www.femininbio.com

Le petit café familial de Pessac va fermer pour une multitude de raisons essentiellement financières, un banquier incompétent au départ, des mois de loyers avancés avant de pouvoir ouvrir, une aide de l'Etat qui n'arrivera jamais, des soucis personnels... bref.
L'Auberge Bio n'est qu'une forme, le fond reste... A bientôt.

La boutique en ligne est toujours là : http://www.lapetiteboutiquebio.com

Cre'Actionature puis Partageons nos Reves sont aujourd'hui devenus http://www.lapetiteboutiquebio.com/ et l'Auberge Bio est née à Pessac en Gironde le 3 févier 2010, il s'agit d'un café boutique écologique où l'on trouve :
- salon de thé
- tarterie
- coin jeux enfants
- ateliers créatifs, festifs
- boutique de puériculture naturelle et objets de créateurs.